Le Château solitaire dans le miroir

Dans un quartier tranquille de Tokyo, sept élèves évitent d’aller à l’école — cachés dans leurs chambres sombres, incapables de faire face à leur famille et à leurs amis — jusqu’à ce que les miroirs de leurs chambres brillent. D’un simple toucher, ils sont tirés de leur vie solitaire dans un château merveilleux tout droit sorti d’un conte de fées de Grimm. Cet endroit fantaisiste, étrangement dépourvu de nourriture et d’eau courante, mais plein de prises électriques, abrite une fille irritable portant un masque, nommée Wolf Queen et devient leur terrain de jeu et leur refuge pendant les heures d’école. Cachés dans les murs, on leur dit qu’il y a une clé qui accordera un souhait, ainsi qu’un ensemble d’indices pour le trouver. Mais il y a un hic : la clé doit être trouvée à la fin de l’année scolaire et ils doivent quitter les lieux avant cinq heures chaque jour ou bien souffrir d’une fin fatale. Au fil du temps, une vérité dévastatrice émerge : seuls ceux qui ont le courage de partager leurs histoires seront sauvés. Et ainsi, ils commencent à découvrir les histoires de l’autre : comment un garçon est arrosé de plus de gadgets que d’amour; comment un autre souffre d’un rejet douloureux et inexpliqué, et comment une fille vit dans la peur de son beau-père prédateur. Alors qu’ils luttent pour respecter les règles du jeu, une histoire émouvante se déroule, de sept personnages piégés dans un cycle d’incompréhension et de solitude, qui sont finalement libérés par le pouvoir de l’amitié, de l’empathie et du sacrifice.